Profiter des décors de la ville

  • SMART FORTWO CABRIOLET

    SMART FORTWO CABRIOLET

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    SMART FORTWO CABRIOLET

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SMART FORTWO CABRIOLET • Adopter une petite voiture, c’est renoncer à quelques avantages qu’offrent les centimètres supplémentaires. C’est aussi profiter d’autre chose.

En testant la smart cabrio, les premières choses à évaluer sont ses capacités à se comporter dans son terrain de jeu favori: la ville. La découverte la plus surprenante tient dans son rayon de braquage. Elle est déjà très courte, en plus elle vire quasiment sur place. On lui fait faire un tourner sur route dans un mouchoir. Cette incroyable capacité rend tout de suite très confiant pour toutes les manœuvres qu’il va falloir faire pour stationner. Car le deuxième effet de la taille consiste à pouvoir la garer là où personne ne peut insérer un véhicule normal, fut-il considéré comme une citadine.

La place désirée

La smart fortwo, comme l’indique son nom, n’emporte que deux passagers. Et des bagages réduits à deux sacs ou petites valises. Le moteur arrière ne laisse guère de place au volume de chargement, mais personne n’aurait l’idée de considérer cette puce de la route comme une grande routière. Les deux fauteuils sont bien dessinés, l’espace dévolu aux jambes est suffisant.

Nous avons testé la version emmenée par le petit moteur de 71 ch. La boîte automatique à double embrayage lui permet d’exprimer un certain dynamisme, grâce à un poids contenu. Les impatients useront de la position «S» ou de la commande manuelle de la boîte. Pour la ville, les premiers rapports assez courts autorisent une insertion parfaitement fluide dans le trafic.

La nouveauté tient dans cette variante cabriolet. Une couverture en toile s’ouvre au-dessus des passagers, jusqu’à l’aplomb du coffre. En insistant sur la commande, la lunette arrière se range pour ouvrir un peu plus l’espace. Une lunette par ailleurs dépourvue d’essuie-glace, obligeant à nettoyer soi-même la vitre pour éviter une impression de brouillard.

Bonne route!

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  • © Verissimo

  • © Verissimo Jacques Perrin, Jean-Luc Pirelot et Christian André

  • © Verissimo Philippe Monnard, directeur du Centre de Formation UPSA, à Yverdon et Pascal Chatagny, directeur du Service des automobiles et de la navigation Vaud

  • © Verissimo Nicolas Leuba, président de l'UPSA-VD est entouré de Hélène Bra, présidente de la FCR-VD et de Nuria Gorrite, conseillère d'Etat

  • © Verissimo Jean-Pierre Giobellina et Reto Jaussi (ASTAG)

  • © Verissimo