A LU , effrayé, ce titre à la une de la presse romande: «Un autre violent séisme a éprouvé le Népal». Malheureusement pour les malheureux, l’aide internationale, déjà longue à se mettre en place, ne prend en considération que la première catastrophe. Un forfait en quelque sorte, les candidats à l’aide ne pouvant revenir en deu- xième semaine. Ceci peut-être pour éviter des commentaires acides des généreux donateurs blasés, du genre «on a déjà donné!»
A SOURI en découvrant que l’encaveur valaisan Dominique Giroud a décidé de quitter la présidence de sa société genevoise, la bien nommée «La Cave du Palais de Justice SA». Peut-être que le Valaisan estime qu’il fréquente déjà suffisamment les caves?
CONNAISSAIT déjà le linceul de Turin ou la toile de lin du suaire d’Oviedo, censée avoir entouré la tête de Jésus après sa mort, ainsi que mille et une autres reliques du chistianisme, presque toutes retrouvées chanceusement par des croisés se baladant du côté de Jérusalem plus de mille ans après la crucifixion. Mais voici que la relique devient contemporaine, avec la robe que portait Jean-Paul II le jour de l’attentat auquel il a réchappé le 13 mai 1981, et exposée depuis quelques jours en Pologne. Une robe tachée du sang de l’intéressé et sur laquelle, contrairement aux autres, aucun doute d’authenticité ne plane. Aucune trace de bave n’ayant été retrouvée, les spécialistes s’accordent en effet à dire qu’il s’agit bien d’une robe du début de son pontificat.