35 ans, un bel âge et des défis!

  •  Jean-Marie Fleury, éditeur de Lausanne Cités. dr

    Jean-Marie Fleury, éditeur de Lausanne Cités. dr

  •  Passage de témoin: dès le 1er janvier 2016, Michel Billato, actuel directeur adjoint, prendra les rênes de Lausanne Cités.Pascal Fleury, à gauche sur la photo, dirigera quant à lui le groupe GHI-LC.

    Passage de témoin: dès le 1er janvier 2016, Michel Billato, actuel directeur adjoint, prendra les rênes de Lausanne Cités.Pascal Fleury, à gauche sur la photo, dirigera quant à lui le groupe GHI-LC.

Issu de la fusion de Lausanne Informations et 24 Cités en 1980, Lausanne Cités fête donc cette année ses trente-cinq ans d’existence. Un bel âge pour un journal gratuit auquel beaucoup n’avaient, à l’époque, pas donné de grandes chances de survie.

C’était sans compter sur l’opiniâtreté des fondateurs et responsables successifs qui ont dirigé ce journal pendant ces longues années. Je veux tout d’abord parler de Jacques Vettiner, le co-fondateur avec moi, du premier journal gratuit de la région lausannoise. Il n’aura eu de cesse de tenter de me convaincre, avant que je n’accepte finalement de lancer avec lui, sur Lausanne, ce que j’avais si bien réussi à Genève avec le GHI, un journal gratuit distribué dans tous les ménages.

Puis, ce fut au tour d’un transfuge de la presse payante, Jean-Marc Velleman, qui a lui aussi osé quitter un confort certain pour se lancer dans la presse gratuite, de diriger pendant plus d’une décennie, avec le grand succès que l’on sait, le désormais incontournable gratuit lausannois.

Depuis maintenant 15 ans, le flambeau a été repris par la jeune garde, en l’occurrence, Pascal Fleury qui a su, lui aussi, avec beaucoup de savoir-faire et d’idées nouvelles, faire perdurer le succès de Lausanne Cités.

Certes, à l’ère d’internet, où tout n’est plus que petits boutons, aussi bien pour trouver une info ou pour placer une nichée de chatons, la tâche n’est pas facile pour la presse en général, qu’elle soit payante ou gratuite. Lausanne Cités devra donc conforter son lectorat traditionnel en privilégiant encore plus si c’est possible, un contenu rédactionnel de proximité.

C’est à ce défi exaltant que nous travaillons en ce moment. Vous découvrirez donc, dès le début de l’année prochaine, un LC remanié enrichi de toutes nouvelles rubriques qui feront, je n’en doute pas, le bonheur de nos lecteurs.

Issu de la fusion de Lausanne Informations et 24 Cités en 1980, Lausanne Cités fête donc cette année ses trente-cinq ans d’existence. Un bel âge pour un journal gratuit auquel beaucoup n’avaient, à l’époque, pas donné de grandes chances de survie.

C’était sans compter sur l’opiniâtreté des fondateurs et responsables successifs qui ont dirigé ce journal pendant ces longues années. Je veux tout d’abord parler de Jacques Vettiner, le co-fondateur avec moi-même, du premier journal gratuit de la région lausannoise. Il n’aura eu de cesse de tenter de me convaincre, avant que je n’accepte finalement de lancer avec lui, sur Lausanne, ce que j’avais si bien réussi à Genève avec le GHI, un journal gratuit distribué dans tous les ménages.

Puis, ce fut autour d’un transfuge de la presse payante, Jean-Marc Velleman qui a lui aussi osé quitter un confort certain pour se lancer dans la presse gratuite, de diriger pendant plus d’une décennie, avec le grand succès que l’on sait, le désormais incontournable gratuit lausannois.

Depuis maintenant 15 ans, le flambeau a été repris par la jeune garde, en l’occurrence, Pascal Fleury qui a su, lui aussi, avec beaucoup de savoir-faire et d’idées nouvelles, faire perdurer le succès de Lausanne Cités.

Certes, à l’ère d’internet, où tout n’est plus que petits boutons, aussi bien pour trouver une info ou pour placer un nichée de chatons, la tâche n’est pas facile pour la presse en général, qu’elle soit payante ou gratuite. Lausanne Cités devra donc conforter son lectorat de niche en privilégiant encore plus si c’est possible, un contenu rédactionnel de proximité.

C’est à ce défi exaltant que nous travaillons en ce moment. Vous découvrirez donc dès le début de l’année prochaine, un LC remanié enrichi de toutes nouvelles rubriques qui feront, je n’en doute pas, le bonheur de nos lecteurs.