L’art et la manière...

Dans son département, elle est sur tous les fronts, avançant au pas de charge, passant d’un dossier à l’autre avec une aisance déconcertante, les faisant aboutir visiblement sans peine, le plus souvent sans avoir ni à hausser le ton, ni à forcer son talent.  Qu’il s’agisse de fusionner les services de la mobilité et de la route, de débloquer le dossier du futur tram T1 entre Renens et Lausanne, de doper le RER vaudois ou le projet d’agglomération Lausanne-Morges, rien ne lui résiste.

Chacun s’accorde pour le dire. La Conseillère d’Etat Nuria Gorrite fait preuve d’une incroyable énergie. Et possède un  style qui plaît, même à ses adversaires politiques dont certains ne tarissent  d’ailleurs pas d’éloges à son  égard, ce qui  semble de plus ne pas lui déplaire. Une forme d’ivresse du pouvoir? Un  calcul politique? Pas du tout!  Nuria Gorrite est telle qu’elle a toujours été. Elle  n’a pas changé d’un iota son attitude depuis qu’elle a quitté son poste de syndique de Morges, il y a de cela deux ans et demi. 

Elle a simplement poursuivi son travail de «créatrice de liens», comme elle aime à le rappeler, et continue de  tenter de fédérer au-delà des intérêts partisans en passant son temps à chercher des solutions, là ou d’autres ne font souvent que polémiquer. Elle fonctionne à l’enthousiasme et à la passion, toujours prête à retrousser ses manches pour que les projets avancent dans le respect de chacun. Un exemple à suivre! (lire notre article)