La ligne d’un des SUV les plus prisés du marché a gagné en finesse, en élégance. Elle reste toutefois très dynamique. La calandre imposante s’intègre mieux. On reconnaît l’Audi Q5, on l’admire plus.
Changements profitables
L’habitacle grandit un peu lui aussi. Les places sont confortables, le coffre généreux. Au premier coup d’œil, on s’aperçoit que l’ergonomie, l’affichage du tableau de bord, comme de l’écran central, bénéficient des derniers progrès de l’électronique. C’est encore plus flagrant au volant. Le régulateur de vitesse, par exemple: non seulement il adapte la vitesse au trafic, mais aussi aux panneaux de signalisation. Avec la possibilité de pousser de quelques kilomètres par heure, juste pour rester dans la tolérance des radars, voilà qui correspond bien aux conducteurs Audi.
Notre véhicule de test était mû par le moteur 2l de 140 kW-190 ch. La boîte à double embrayage compte sept rapports. Tous deux ont été améliorés, gagnant en efficacité énergétique. La réactivité a progressé, d’autant que l’on peut choisir son mode de conduite avec DriveSelect: auto pour tous les jours, Sport, ou Individual pour personnaliser selon son goût, si l’on veut des amortisseurs souples avec un tempérament de moteur sportif.
Discrète
La gestion de la traction quattro n’a plus rien à prouver. Terriblement efficace et discrète, elle assure en toutes circonstances. Comme il est d’usage chez Audi, la liste des options est gigantesque. Curieux: notre véhicule de test avait le démarrage sans clé, mais l’accès à bord avec la télécommande. Il faut choisir judicieusement ses options…