Les deux baroudeurs font la paire

LAND ROVER DISCOVERY ET DISCOVERY SPORT • Deux 4x4 à l’aise dans la boue ou la neige, parfaitement civilisés en ville. Pourquoi l’un plutôt que l’autre?

  • LAND ROVER DISCOVERY

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C’est un saut de génération. Le dernier Land Rover Discovery ne reprend qu’une chose: un décrochement visuel du hayon, rappelant la porte asymétrique de son prédécesseur. Il garde également des capacités de franchissement très abouties, avec des réglages pour le sable, la neige, la boue, le passage de gués, de rochers. Un véritable passe-partout, une référence. Sept places, les deux dernières se déployant électriquement.

Le petit frère Discovery Sport est plus court de près de 40 cm. Il est aussi agile dans le terrain, un peu moins pour des parcours extrêmes. Il peut aussi avoir sept places, celles de la troisième rangée étant plus spartiates.

Le choix de la taille

La grande différence entre les deux réside dans la taille. Le nouveau Discovery en impose. Il a un espace de chargement gigantesque et sa capacité de traction permet de l’avoir comme utilitaire. Ce qui n’empêche pas un aménagement intérieur soigné, voire luxueux. Sur les autoroutes, il a une stabilité et un comportement parfaitement serein. Dès qu’on prend des sentiers escarpés, on mesure l’expérience extraordinaire accumulée par Land Rover sur toute la planète. Le mélange du confort et de l’aventure sans limites, en somme.

L’avantage du Discovery Sport réside dans sa polyvalence, il ne demande pas de place de parcage généreuse. Lui aussi sait se sortir d’ornières ou de congères avec sa traction intégrale, mais moins dans des lieux aussi extrêmes que son grand frère, dont on peut surélever la caisse.

Les deux Discovery testés étaient animés par des moteurs diesels, de 240 ch. pour le grand, de 180 ch. pour le petit frère. Les premiers tours de roue sont un peu lents, sinon ils ont une excellente réactivité. Sobres, de dernière génération, ils sont accouplés à une boîte auto à 8 et 9 rapports.