CULTURE • Ces trois partenaires ont uni leurs forces et leurs visions pour présenter un projet qui amène une réflexion sur la réappropriation de l’héritage architectural moderne. Ce vaste projet a été primé pour sa qualité, son ambition, son programme de médiation culturelle et son ancrage avec le lieu particulier qui l’accueillera, à savoir l’abribus du terminus de la Maladière, un des vestiges de l’expo de 1964.
Du 25 mars au 10 juillet, il sera le cœur d’expositions, de conférences ou encore d’ateliers et connaîtra toute une série de moments forts. Bruno Aeberli concevra ainsi trois œuvres, en trois temps, pour mettre en valeur «l’héritage architectural et la notion de modernité, de ruine ou de réaffectation». Ces œuvres côtoieront des fragments produits par les trois architectes invités par le collectif Corridor. Art et architecture s’entremêleront et se répondront pour composer une nouvelle perception de l’édicule et plus largement de la modernité. Les vernissages seront également l’occasion de conférences et constitueront un cycle de trois événements. Et, pour que «Maladière Moderne» s’adresse à tous les publics, «Ville en tête» offrira un programme de médiation culturelle, avec notamment des ateliers, des visites et des grands jeux à destination des enfants et des familles. Toutes les mesures sanitaires seront respectées durant les différentes activités réalisées par le Collectif. Des changements dans la programmation pourraient donc intervenir en fonction de l’évolution de la situation sanitaire.
Le programme complet sur: www.maladiere-moderne.ch