THÉÂTRE • A peine sorti de la dictature, un pays d’Amérique du Sud met en place une commission d’enquête sur les crimes passés. La présidence de cette commission est confiée à un avocat: Gérardo Escobar.
Le soir de sa nomination, il crève un pneu. Un automobiliste vient à son secours et le ramène chez lui. Mais au moment où la femme de l’avocat entend la voix de cet homme, elle est certaine de reconnaître l’un des bourreaux qui l’a torturée pendant la dictature...
Sur une mise en scène de Massimiliano Verardi, «La jeune fille est la mort» sera joué les 5 et 6 novembre prochains à l’Espace culturel des Terreaux. Le thème de cette pièce relève d’un thème ancestral, consacré à l’innocence et la perversité qui introduisent à la notion de victime et de bourreau ainsi que celles d’honneur et de vengeance.
«La jeune fille et la mort», Espace culturel Les Terreaux, les 5 et 6 novembre. Rens. www.terreaux.org