Elle a commencé la photo dans son adolescence et ne pose depuis que très rarement son objectif. Passionnée par la Laponie, Séverine Gonzales en a immortalisé les paysages en toutes saisons, et la photo reste son moyen d’expression préféré. Après avoir créé un premier magazine musical en 2008 («Le Coton Tige Romand»), elle lance son second, «Onde Romande» en 2018, dédié lui aussi aux musiciens romands. De shooting photo en interviews, c’est tout naturellement qu’elle décide d’en représenter quelques-uns. Elle manage aujourd’hui une dizaine de groupes dans des styles très variés, du jazz au bluegrass en passant par la chanson, le rock, le calypso et le swing hawaïen, qui montrent tous la vitalité rayonnante et l’ouverture curieuse de la scène musicale romande.
Qu’as-tu pratiqué comme activité artistique?
Le piano m’accompagne depuis l’enfance. J’ai pris aussi des cours de clarinette, et je fais de la guitare, de la mandoline et du ukulélé.
Quelles ont été les œuvres qui t’ont particulièrement influencée?
Nils Frahm, un pianiste allemand qui ajoute de l’électronique à sa musique. Découvert en 2014 à Yverdon-les-Bains je ne m’en lasse pas.
La personnalité culturelle que tu aimerais rencontrer?
Claude Dussez, un photographe dont j’admire énormément le travail.
Le livre sur ta table de chevet ?
«Le Messie récalcitrant» de Richard Bach.
La série que tu bingewatches actuellement ?
«Suits» (Avocats sur mesure en français).
Le film que tu as hâte de voir?
Entre «Dune» et «Kaamelott», mon cœur balance!
Le truc que tu adores et que personne ne connaît?
La série «Spaced» qui a révélé le trio de choc Edgar Wright, Simon Pegg et Nick Frost!
L’artiste que tu aimerais rencontrer?
Piers Faccini, un poète musicien qui vit dans les Cévennes. J’adorerais pouvoir passer un moment avec lui et le photographier dans son atelier!
Ta rencontre la plus marquante avec un artiste?
Raphaël Noir! Musicien, chanteur, coach artistique, touche-à-tout, j’ai beaucoup appris à son contact. C’est une personne incroyable.