Deux noms résument le chemin que Mazda a choisi: Skyactiv pour le moteur, Kodo pour le design. Pour le quatre cylindres, pas de turbo, une technologie de pointe, en passe d’évoluer encore, pour des consommations et des émissions réelles raisonnables.
Pas pour l’affichage sur la fiche, pour correspondre à la vérité. Donnée à 4,8l/100 km, elle nous en a demandé tout de même plus, avec une conduite un peu dynamique.
Avec la boîte automatique à six rapports, la ville devient un vrai plaisir. Elle se comporte parfaitement. C’est sur des trajets plus longs que cela commence à être un peu moins agréable, le moteur doit monter les régimes pour trouver ses ressources, cela pénalise un peu le confort auditif.
Le coup du charme
Le Kodo, l’âme du mouvement, se retrouve sur toutes les nouvelles Mazda. Fluidité, caractère, élégance, que ce soit pour l’extérieur ou l’intérieur. Le conducteur a un HUD (head up display), c’est-à-dire un affichage tête haute sur un petit écran juste en face de ses yeux. Après quelques jours, on le cherche sur toutes les voitures tant c’est pratique et sûr.
Autre commande très bien vue, le gros bouton, qui tombe sous la main entre les sièges. Il pilote tout l’écran, de manière très intuitive. Un des meilleurs du marché.
La Mazda2 a un équipement très complet, avec l’alerte de franchissement de ligne, par exemple, les palettes au volant pour prendre la main, un grand écran, les sièges chauffants en tissu, les commandes au volant et l’intégration du téléphone, sans compter deux prises USB pour ne frustrer personne.